Dinde, chapon, canard, poularde, pintade ou poulet… À Noël, la volaille est bien souvent la reine de la table. Mais comment bien choisir sa volaille, et surtout laquelle choisir pour ne pas avoir un repas de fêtes trop gras ? « Il faut savoir que parmi toutes les viandes, la volaille est celle qui aura le moins de méfaits pour la santé », commence Lola Chevy, diététicienne nutritionniste. En effet, contrairement à une viande rouge (bœuf, porc, agneau…), la volaille est plus riche en protéines animales, plus maigre en graisses et surtout faible en acides gras saturés.

Elle offre également à l’organisme les vitamines et minéraux dont il a besoin au quotidien, notamment du fer et des vitamines du groupe B, qui contribuent au bon fonctionnement du système immunitaire. « On a donc donc pas tout faux en choisissant de la volaille à Noël », rassure la spécialiste.

« Toutes les volailles se valent en termes d’apports et de bienfaits, hormis le canard qui est un peu plus gras que les autres », indique la nutritionniste. Le chapon, jeune mâle engraissé spécialement pour les fêtes, va lui aussi être naturellement plus gras. En moyenne, une portion de 100 grammes de canard contient entre 5 et 6 grammes de gras et une portion de chapon environ 13 grammes quand le poulet en contient 1 à 2 grammes. Mais la palme revient à la dinde, qui reste la volaille la moins grasse avec 0,5 à 1 gramme de gras pour une portion de 100 grammes, « en fonction des morceaux », nuance néanmoins Lola Chevy.

Car le morceau (…)

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