Les organisateurs de Paris 2024 ont présenté lundi soir leur budget à fin décembre. Il reste stable en puisant 154 millions d’euros dans leur matelas réservé aux aléas.
Les trois quatre prochains mois sont la dernière zone de risque, on verra si les 121 millions d’euros nous donnent de la souplesse et de la marge, ou s’ils sont rapidement consommés.
Cojo
Ce montant a servi notamment à payer des dépenses liées aux infrastructures temporaires, des tribunes supplémentaires, des coûts liées à l’énergie, ou encore des coûts liés à la partie artistique de la cérémonie d’ouverture sur la Seine (pour 20 millions d’euros), a précisé le Cojo. «Les trois quatre prochains mois sont la dernière zone de risque, on verra si les 121 millions d’euros nous donnent de la souplesse et de la marge, ou s’ils sont rapidement consommés», a précisé le Cojo. Les revenus des «hospitalités» (packages de luxe avec hôtels et loges) et «licences» ont été revus en baisse de 20 millions d’euros, a-t-il aussi précisé, expliquant qu’ils avaient été inscrits à des «niveaux ambitieux» dans les budgets précédents.