Chili: les opposants à la nouvelle Constitution se mobilisent

Au Chili, la campagne pour le référendum du 4 septembre sur la nouvelle Constitution, bat son plein. 15 millions de Chiliens seront appelés aux urnes pour un vote obligatoire. Et selon des derniers sondages, le « non » à la nouvelle Constitution pourrait l’emporter. C’est d’ailleurs cette option que la coalition de droite a choisie. Tout comme un ex-président de centre-gauche qui a annoncé qu’il votera « contre ».

 

De notre correspondante à Santiago du Chili,

Dans le centre de la capitale, une soixantaine de personnes se sont réunies et agitent des drapeaux chiliens. Une grande banderole a été déployée sur laquelle il est écrit : « Rechazo Popular » (rejet populaire, en français).

« Ce mouvement est pour le Chili, pour la patrie avant tout », lance un des participants au mégaphone. Un rassemblement d’extrême droite auquel Jessica a participé. Elle votera « contre » la nouvelle Constitution, car elle veut conserver celle actuellement en vigueur écrite sous la dictature du général Augusto Pinochet en 1980.

Au Chili, la campagne pour le référendum du 4 septembre sur la nouvelle Constitution, bat son plein. 15 millions de Chiliens seront appelés aux urnes pour un vote obligatoire. Et selon des derniers sondages, le « non » à la nouvelle Constitution pourrait l’emporter. C’est d’ailleurs cette option que la coalition de droite a choisie. Tout comme un ex-président de centre-gauche qui a annoncé qu’il votera « contre ».

De notre correspondante à Santiago du Chili,

 

Dans le centre de la capitale, une soixantaine de personnes se sont réunies et agitent des drapeaux chiliens. Une grande banderole a été déployée sur laquelle il est écrit : « Rechazo Popular » (rejet populaire, en français).

 

« Ce mouvement est pour le Chili, pour la patrie avant tout », lance un des participants au mégaphone. Un rassemblement d’extrême droite auquel Jessica a participé. Elle votera « contre » la nouvelle Constitution, car elle veut conserver celle actuellement en vigueur écrite sous la dictature du général Augusto Pinochet en 1980.

« Ce n’est plus la Constitution des généraux, car beaucoup de réformes y ont été apportées et la signature de Pinochet n’est plus sur le document. Cette Constitution nous a fait grandir économiquement et c’est le général qui nous a sorti de la « merde » dans laquelle nous avait mis le président Allende. »

 

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