50 Cent a refusé une offre de 3 millions de dollars pour se produire lors du rassemblement à New York de Donald Trump.

Le chanteur de In Da Club a vaguement laissé entendre qu’il soutenait l’espoir présidentiel de Donald Trump dans sa campagne électorale de 2024 – partageant des images du personnage de The Apprentice à l’un de ses concerts en juillet, après qu’on avait tiré sur le candidat lors d’un rassemblement en Pennsylvanie.

Cependant, le rappeur a révélé qu’il n’avait pas pu se résoudre à monter sur scène lors du rassemblement de l’homme politique de 78 ans au Madison Square Garden à New York dimanche. 50 Cent a en revanche confirmé qu’une invitation lui avait été envoyée.

« J’ai reçu un appel, mais ils me voulaient (pour) dimanche… Ils m’ont offert 3 millions de dollars », a-t-il révélé lors de son passage au micro de The Breakfast Club mardi ((29 oct. 24).

Il a ensuite révélé que la somme n’avait même pas été en discussion : « Je ne suis même pas allé loin… Je ne leur ai pas parlé de ce genre de choses », a ajouté le musicien et il a avancé une raison. Le rappeur de 49 ans l’avoue, la politique n’est pas son truc : « J’ai peur de la politique. Vous comprenez ? Je n’aime rien de ce qui la concerne ».

Pour expliquer son hésitation à se lancer dans la politique, la star a précisé : « C’est parce que lorsque vous vous engagez, peu importe ce que vous ressentez, quelqu’un est passionnément en désaccord avec vous ».

Le 5 novembre, les Américains voteront pour déterminer qui de l’actuelle vice-présidente Kamala Harris ou de l’ancien président Donald Trump deviendra le dirigeant des États-Unis. Alors que Donald Trump a peiné pour décrocher le soutien de célébrités lors de sa campagne, Kamala Harris a reçu l’appui de stars telles que Taylor Swift et Jennifer Lopez. Ce mois-ci, l’actuelle vice-président a même reçu le soutien de la superstar de la musique Beyoncé. Cependant, des rumeurs ont suggéré que la chanteuse de Drunk In Love a été payée un montant stupéfiant de 10 millions de dollars pour sa performance. Mais n’oublions pas que les fake news pleuvent en masse durant cette campagne présidentielle aux sondages très serrés et donc à l’issue incertaine.

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